EN BREF
|
Face à l’urgence climatique, une résistance à l’action se manifeste à travers une multitude de discours et d’excuses qui justifient l’inaction. Ces justifications, souvent ancrées dans des préjugés ou des mécompréhensions, alimentent le scepticisme et freinent les progrès nécessaires pour lutter contre le changement climatique. Ce texte explore les 12 justifications fréquemment avancées pour ne pas agir et propose une série d’arguments afin de les déconstruire, permettant ainsi de mieux comprendre les tenants et aboutissants de cette paralysie face à une crise environnementale sans précédent.

Les 12 excuses de l’inaction face au changement climatique
Le changement climatique représente un défi majeur pour notre société contemporaine, mais paradoxalement, l’inaction persiste en dépit des preuves accablantes sur ses conséquences. Cet article se penche sur les 12 excuses couramment avancées pour justifier cette inaction. Ces discours, souvent résumés sous le terme climate delay, sont des justifications qui permettent à certains de ne pas agir face à l’urgence climatique. Par exemple, des affirmations telles que « il est trop tard pour agir » ou « la technologie nous sauvera » sont des poncifs qui circulent souvent dans les débats publics, projetant l’idée que toute initiative serait vaine. En déconstruisant ces excuses, nous pouvons mieux comprendre les mécanismes qui entravent une réponse efficace au changement climatique et identifier des leviers d’action potentiels.
À l’aide de recherches approfondies, notamment celles menées par des universités comme Cambridge, cet article fournit des arguments clairs et des réponses concrètes à chaque excuse. Par exemple, plutôt que de céder à la fatalité d’un prétendu effondrement inéluctable, les scientifiques nous rappellent que des alternatives existent encore, qu’il s’agisse de politiques de réduction des émissions ou d’initiatives individuelles. Ainsi, cette section vise à offrir aux lecteurs des outils pour contrer ces idées reçues et encourager une participation active dans la lutte pour un avenir durable.

Les 12 Excuses de l’Inaction Climatique
Les discours de climate delay relèvent d’une analyse fondamentale sur les obstacles rencontrés dans la lutte contre le changement climatique. Un article marquant de l’université de Cambridge a mis en évidence douze excuses souvent évoquées pour justifier cette inaction. Par exemple, l’argument du démocrate amateur qui déclare que les << mesures nécessaires >> sont irréalisables dans un système démocratique fait écho à une vision pessimiste de la capacité humaine à s’adapter. Pourtant, des initiatives telles que la Convention Citoyenne pour le Climat montrent qu’il est possible d’engager des citoyens non-experts à concevoir des solutions viables en matière d’environnement.
De plus, il existe une tendance à relativiser la responsabilité de chaque pays dans les émissions de carbone, en s’appuyant sur l’argument que « la France ne représente qu’un pourcentage minime de l’ensemble des émissions mondiales ». Cependant, ce raisonnement risque de créer un effet de passager clandestin, où chaque nation attend que les autres prennent des mesures avant d’agir. Il est essentiel de comprendre que chaque baisse d’émissions, même marginale, contribue à l’effort collectif. De plus, des études montrent que des actions locales peuvent avoir un impact positif global, offrant un exemple à d’autres nations.
Ainsi, le refus de certaines populations de prendre des mesures pourrait également être relié à une déconnexion de la réalité qui les entoure. Nombreux sont ceux qui se sentent impuissants face à l’ampleur du défi. Toutefois, des mouvements tels que ceux des jeunes engagés dans des manifestations pour le climat soulignent qu’une mobilisation croissante appelle à une prise de conscience collective. Les jeunes générations, souvent plus désireuses de changement, appellent à l’action et illustrent que la lutte contre le changement climatique est non seulement une responsabilité, mais également une chance de réinventer un futur durable.
En somme, alors que ces excuses d’inaction sont souvent utilisées pour justifier le statu quo, il est impératif d’adopter un cadre de réflexion qui privilégie des arguments constructifs et une vision optimiste. En examinant ces questions sous un angle plus large, des pistes nouvelles peuvent émerger et favoriser des changements concrets au sein de nos sociétés, où chaque action compte dans la lutte contre un problème global tel que le climat.
Le changement nécessaire face au réchauffement climatique
Agir aujourd’hui pour un avenir durable
Face à l’urgence de la situation climatique, chaque geste compte. Il est crucial d’explorer les initiatives individuelles et collectives qui peuvent contribuer à un changement significatif. Par exemple, la réduction de la consommation d’énergie dans nos foyers peut avoir un impact direct sur les émissions de CO2.
Des études montrent que l’adoption de comportements plus responsables peut non seulement aider à diminuer notre empreinte carbone, mais également inspirer notre entourage à faire de même. Des personnes ayant installé des panneaux solaires chez elles, par exemple, rapportent un sentiment de satisfaction et de contribution à la lutte contre le changement climatique.
- Adopter des habitudes de consommation responsables, telles que l’achat de produits locaux et de saison.
- Participer à des initiatives communautaires de reforestation pour compenser les émissions de carbone.
- Encourager les politiques locales en faveur de la transition énergétique et de la mobilité durable.
- Éduquer les jeunes sur les enjeux environnementaux afin de cultiver une génération conscientisée et engagée.
Chaque action, même à petite échelle, peut contribuer à un mouvement collectif nécessaire pour sauver notre planète. Sensibiliser son entourage et partager des pratiques durables est tout aussi important.

Climat : les 12 excuses de l’inaction, et comment y répondre
Nous ne pouvons que nous réjouir d’avoir (presque) convaincu les climatosceptiques. Mis à part quelques brebis galeuses, plus personne ne nie les effets de l’activité de l’Homme sur le changement climatique. En revanche, la partie la plus difficile arrive : changer. Changer nécessite d’agir, de savoir quand, et comment. Changer n’arrange pas certaines personnes, comme ces lobbys qui dépensent des millions pour continuer leurs activités très lucratives qui détruisent la planète.
C’est ainsi qu’un papier de l’université de Cambridge a mis en exergue les 12 discours retardant l’action climatique, perçus comme les 12 excuses habituelles qui justifient l’inaction climatique. En d’autres termes, oui, le changement climatique est un problème, mais il y a toujours une bonne excuse pour ne rien faire. Cet article doit donc permettre d’identifier un discours de climate delay et d’être ensuite capable de le réfuter.
Quelques points avant de passer en revue ces 12 excuses. Il est nécessaire de s’attacher aux faits et de laisser le plus possible de côté les émotions. A titre d’exemple, le débat du nucléaire est par exemple beaucoup trop irrationnel en France et il n’y a au final que des perdants : les Français(es). Ensuite, la symbolique est importante. Un petit changement peut au final avoir un impact énorme.
PS : exceptionnellement, je mettrai à jour cet article, avec les meilleurs arguments (sourcés) que je lirai en réponses. Il me paraît très important que les lecteurs disposent des meilleurs arguments pour réfuter les idées reçues sur le climat et la transition écologique.
LISTE DES 12 EXCUSES ET COMMENT Y RÉPONDRE
L’abandon
Excuse 1 : Doomisme – Catastrophisme
Argument : ‘C’est trop tard, ça sera jamais assez.’
Réponse : Même si ce discours d’effondrement a beaucoup d’écho, à l’instar d’Yves Cochet en France par exemple, il est faux. Faux de dire que nous sommes déjà condamnés. Faux de dire que des milliards d’individus vont mourir. Pourquoi ? Parce que le GIEC le dit : nous avons encore le temps de faire les changements nécessaires pour vivre dans un monde soutenable. Valérie Masson Delmotte l’a répété lors de son discours devant la Convention Citoyenne pour le climat : chaque mois compte. Mais cela ne veut en aucun cas dire que ‘c’est trop tard‘. C’est avant tout un problème d’inertie politique et sociétale (une transition abrupte aurait évidemment des conséquences), avant d’être un problème d’inertie physique.
Il est bien sûr trop tard pour empêcher qu’il y ait des dégâts (sociaux, environnementaux..). Mais rien ne sert d’avoir un discours qui exagère ce que la science nous dit sur le climat (même si cela fait vendre…). Ainsi, évitons le doomisme, ce comportement qui consiste à regarder sa cuisine s’enflammer et dire ‘on peut rien faire c’est foutu’ pendant que le feu se propage aux autres pièces.
Enfin, il n’y a pas de deadline. Oui, c’était mieux d’agir il y a 20 ou 30 ans. Mais ce n’est pas parce que nous n’avons pas agi en 2025 ni même en 2030 que tout est foutu. L’idée, c’est que plus nous agissons tard, plus cela sera catastrophique (avec de belles boucles de rétroactions qui viendront aider cela).
Excuse 2 : le changement est impossible
Argument : ‘Toute mesure prise pour réduire l’impact CO2 serait contre nature, les gens ne voudront jamais changer’. ‘En démocratie, ça ne passera jamais’
Réponse : Il est faux de dire que c’est dans la nature humaine de détruire son environnement. Très souvent, Sébastien Bohler est cité à tort et à travers avec son livre Le bug humain. Comme précisé dans cet article qui réfute complètement la thèse de S. Bohler, c’est oublier que des peuples ont vécu des siècles sans détruire leur environnement (comme nous le faisons actuellement). Ce discours est extrêmement dangereux car il reviendrait à dire ‘c’est pas de ma faute, on est fait comme ça‘ ! Et bien non. C’est faux Sébastien.
Concernant l’argument de la démocratie. Même si notre démocratie est imparfaite, nous avons bien vu avec la Convention Citoyenne pour le Climat que des individus non experts pouvaient monter en compétences sur le sujet et proposer. En Chine, au Vénézuela, je ne suis pas sûr que cette convention aurait vu le jour ! Alors oui, tout n’est pas parfait, mais le changement est tout de même possible.
Aussi, la démocratie peut être plus efficace au niveau local qu’au niveau national (voire international…). Les changements s’opéreront bien plus vite dans votre ville de 20000 habitants avec un maire courageux qu’avec un président menteur et un premier ministre qui pense que ‘biodiversité’ est un groupe de rock des années 70.
Enfin, en démocratie, plus que dans tout autre modèle politique, vous êtes libres d’agir et de prendre des initiatives. De manifester votre désaccord. A ma connaissance, je n’ai pas vu Greta critiquer l’inaction contre le changement climatique du président chinois sur la place Tian’anmen.
Redirection de la responsabilité
Excuse 3 : l’individualisme
Argument : ‘La responsabilité incombe à quelqu’un d’autre’. ‘Le changement viendra uniquement des individus’.
Réponse : There is no such thing as society. Merci Margaret, mais non merci. On ne peut pas demander uniquement aux individus de résoudre un problème systémique.
Ce sujet a déjà été évoqué dans la responsabilité des émissions de Total. Qui est responsable des émissions : Total, ou celui qui roule toute la nuit avec l’essence ? Si nous prenons en compte le scope 3 du Greenhouse Gas Protocol pour que les organisations puissent calculer leurs GES, le responsable est bien Total, et non le citoyen. Vous pourriez également souligner que la présence de 30000 lobbyistes représentants d’intérêt qui gravitent à Bruxelles n’est pas un hasard (tout comme les milliards investis en communication pour pousser les individus à la consommation).
Si nous devions nuancer, bien sûr que le citoyen a son rôle à jouer. Il peut voter avec son argent, boycotter certaines entreprises, faire sa part comme nous l’indique Carbone 4. Mais il ne faut surtout pas oublier que la majorité du poids de la responsabilité est bien du côté des politiques et des entreprises.
Excuse 4 : Whataboutisme
Argument : ‘Ouais mais la France c’est que 1% des émissions, alors que les chinois, hein ! Faudrait peut-être que eux ils commencent, après on verra’
Réponse : C’est l’argument le plus fréquent. Nous connaissons tous quelqu’un qui essaye toujours de trouver cette excuse pour ne rien changer. C’est surtout tristement la réponse classique du type qui ne fait pas la différence entre inventaire national et empreinte carbone. Souvent, c’est le type qui accuse les chinois de polluer, sans comprendre que les chinois polluent en fabriquant des produits de consommation… Qu’il consommera. Le Haut Conseil pour le Climat l’a d’ailleurs mis en lumière lors de son dernier rapport sur l’empreinte carbone de la France.
Vous l’entendrez aussi très souvent dans le secteur de l’aviation : ‘ouais mais l’avion c’est que que 3% des émissions alors que t’as vu la voiture et le transport maritime ?’
Mais…. TOUT LE MONDE doit se remettre en question. Vu les baisses d’émissions de CO2eq que nous devons réaliser chaque année, 1%, c’est énormissime. Il n’y aura pas de petits profits. Toute baisse d’émissions est bonne à prendre. Ce n’est pas parce que l’autre pollue plus que toi que tu ne dois pas faire d’efforts. Si je devais attendre que l’américain ait une empreinte carbone de 2T CO2eq/an pour changer, je pourrais attendre longtemps.
Enfin, non seulement l’exemplarité est très certainement le meilleur vecteur pour aboutir à des changements, mais un point de bascule peut tout à fait provenir d’un changement mineur. Inutile de rappeler que d’un point de vue éthique, que vous soyez chinois, brésilien ou français, tout le monde devrait adapter son mode vie pour qu’il soit soutenable (remarque valable pour l’employé de bureau, mais aussi pour Joaquin Phoenix et Madonna…). Enfin, le CO2 n’a pas frontière. Ce que vous émettez peut avoir des conséquences très graves ailleurs : c’est ce qu’on appelle entre autres l’injustice climatique.
Excuse 5 : le Free-Rider
Argument : ‘Si nous baissons en premier nos émissions, d’autres pays vont profiter de nous’. Donald Trump, sur les Accords de Paris
Réponse : La situation sera catastrophique si nous ne la préparons pas. Beaucoup de politiques d’adaptation sont doublement bénéfiques puisqu’elles nous rendent plus résilients ET diminuent nos émissions de GES. A cet effet, le Sénat a sorti un rapport en 2019, avec deux phrases qui répondent à l’excuse du Free-Rider :
“Si atténuation et adaptation sont aujourd’hui considérées comme complémentaires, on constate cependant, dans les esprits et dans les pratiques, que les politiques d’adaptation souffrent encore d’un déficit persistant de reconnaissance et de légitimité.”
“C’est trop souvent à travers le seul prisme de l’atténuation des émissions de GES, c’est-à-dire sous un angle préventif, que les acteurs envisagent les enjeux climatiques.“
Si nous ne prenons pas les devants pour se préparer au changement climatique , nous en paierons très cher les conséquences. C’est ce que rappelle le dernier rapport de l’IPBES sur la biodiversité et les pandémies. A l’instar de la Covid-19, nous avons un aperçu de l’effet dévastateur d’une pandémie sur nos santés, nos économies et notre stabilité sociale. Aujourd’hui, ce sont les mêmes activités humaines qui provoquent :
- 👉 effondrement de la biodiversité
- 👉 changement climatique
- 👉 augmentation du risque de PANDEMIE.
Malheureusement, ce lien n’a pas été évoqué une seule fois par le gouvernement depuis le début de la crise en mars 2020. Que cela soit d’ailleurs par ignorance ou simple intérêt électoraliste.
Par ailleurs, le dernier rapport du GIEC 1.5 confirme qu’il y a aura des co-avantages à s’adapter :
Enfin, le coût des conséquences d’un réchauffement planétaire supérieur à 1.5°C sera supérieur au coût qu’il aurait fallu mettre en œuvre pour ne pas dépasser ces 1.5°C. Nous avons intérêt, même d’un point de vue économique, à rapidement nous adapter.
Rejoignez les 40000 abonné(e)s à notre newsletter
Chaque semaine, nous filtrons le superflu pour vous offrir l’essentiel, fiable et sourcé
“Pas besoin d’un changement radical”
Excuse 6 : l’optimisme technologique
Argument : ‘La technologie va nous sauver ! L’avion Zéro carbone sera là en 2035 ! La fusion arrive bientôt !
Réponse : Après le whataboutisme, c’est l’excuse la plus répandue. Non, ne changez rien à votre mode de vie, une backstop technology va arriver et tous nous sauver. Non seulement c’est un pari extrêmement risqué, mais pour l’instant, nous n’avons pas l’ombre d’un iota qui prouverait qu’il est possible qu’une énergie propre remplace toutes les énergies existantes. L’avion Zéro Carbone en 2035, tant vanté par Elisabeth Borne, est une connerie sans nom et réfutée par nombre d’ingénieurs spécialisés. Concernant la fusion, elle ne ferait partie que d’un mix énergétique. Donc non, ce n’est pas l’énergie qui nous sauvera tous.
De plus, en moyenne, entre une publication scientifique et le dépôt d’un brevet, il faut environ 10 ans. Reste ensuite la mise sur le marché, le déploiement, etc.
Pour les plus récalcitrants, voici quelques arguments de Philippe Bihouix et Françoise Laugée.
Excuse 7 : des paroles, très peu d’actes
Argument : “Nous sommes courageux et avons annoncé un plan historique, la France sera leader dans la lutte contre le changement climatique ! Entendu de la bouche de Laurent Fabius, au bord des larmes à la fin de la COP21.
Réponse : L’excuse préférée des politiques, qui annoncent des ‘mesures historiques’, sans pouvoir en apporter la preuve. C’est aussi généralement impossible de mesurer les effets de la mesure citée par un gouvernement. Cette excuse est très prisée au UK, mais la France n’est pas en reste. A titre d’exemple, alors que nous devons baisser nos émissions de 7.6% par an, Valérie Masson-Delmotte rappelle devant la CCC que nos émissions stagnent depuis quelques années… Les chiffres montrent bien l’écart entre la Stratégie Nationale Bas Carbone (SNBC), les objectifs à atteindre chaque année, et la réalité.
Si vous aviez écouté attentivement Elisabeth Borne il y a un peu plus d’un mois, elle qui souhaitait la France pionnière en baisse d’émissions en mettant le paquet sur le vélo ! Enfin, le paquet, 20 millions quoi.
Autre exemple concret, l’annonce par le Parlement Européen d’une baisse des émissions de 60% d’ici 2030. Non seulement leur projet n’est absolument pas viable (en témoigne leur joli graphique de croissance verte que j’ai réfuté sur Twitter), mais si la France devait respecter cela, et fonction de la SNBC, voyez ce que cela donnerait : -15% d’émission les années précédents 2030.

Les clés pour contrer l’inaction climatique
Dans le combat contre l’inaction climatique, il est crucial de demeurer conscient des 12 justifications qui continuent de retarder les actions nécessaires. Chacune de ces excuses, ancrée dans des discours tels que le doomisme, l’optimisme technologique et le whataboutisme, représente un obstacle majeur à la mise en œuvre de solutions concrètes. En identifiant ces discours, les citoyens peuvent apprendre à les réfuter avec des arguments basés sur des données scientifiques.
Le changement est possible, et chaque action compte. Pour répondre à la crise climatique, il est impératif de reconnaître que les responsabilités incombent non seulement aux individus mais aussi aux gouvernements et aux entreprises. Ensemble, nous devons agir au niveau local et global pour réduire nos émissions et promouvoir une transition juste et durable.
Cette lutte pour l’environnement nécessite un engagement collectif et un changement de mentalités. Face à l’urgence climatique, il est temps de s’unir, d’agir dès maintenant et de convaincre ceux qui hésitent encore à faire face à la réalité.