🌿 Sommet ONUsur la biodiversité : cap sur la Colombie ! 🇨🇴
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À ne pas manquer : le sommet de l’ONU sur la biodiversité bientôt en Colombie

EN BREF

  • Dates : Du 21 octobre au 1er novembre 2024
  • Lieu : Cali, Colombie
  • Événement : COP16 – sommet des Nations Unies sur la biodiversité
  • Thème : « Paix avec la nature »
  • Objectif : Évaluer les progrès sur le cadre mondial de biodiversité adopté lors de la COP15 à Montréal
  • Importance : Nécessité d’actions concrètes pour atteindre les objectifs de 2030
  • Rôle de la Colombie : Pionnier dans la conservation de la biodiversité, avec des engagements de protection des territoires
  • Présence de Greenpeace : Délégation internationale axée sur le financement et le respect des droits humains dans la conservation

Du 21 octobre au 1er novembre, la ville colombienne de Cali se prépare à accueillir la COP16, un événement crucial dans la lutte pour la biodiversité. Ce sommet des Nations Unies réunira des dirigeants du monde entier pour discuter des enjeux majeurs liés à la préservation de la biodiversité et des mesures nécessaires pour inverser la tendance alarmante de la perte d’espèces. Alors que la Colombie, pays hôte riche en écosystèmes uniques, joue un rôle de pionnier dans la conservation, les attentes autour de cette rencontre sont élevées. Les débats s’annoncent intenses, avec des objectifs ambitieux à atteindre pour garantir un avenir durable pour notre planète.

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La COP16 : Un Événement Crucial pour la Biodiversité

La COP16, qui se déroule en Colombie, représente une étape déterminante pour la biodiversité mondiale. Ce sommet, qui réunit les pays signataires de la Convention internationale sur la diversité biologique, vise à évaluer les progrès réalisés depuis l’adoption du cadre mondial lors de la précédente conférence à Montréal. Le thème de cette édition, qui est « Paix avec la nature », souligne l’importance de rétablir l’équilibre entre les activités humaines et les écosystèmes. Les enjeux sont considérables, car deux ans après la mise en place de cet accord ambitieux, il est crucial d’examiner l’état d’avancement des engagements pris.

La Colombie, en tant que pays hôte, possède une biodiversité parmi les plus riches au monde, abritant des écosystèmes uniques, tels que la forêt amazonienne et les forêts de nuages des Andes. Cependant, cette richesse est mise à mal par diverses menaces, dont la déforestation et le changement climatique. Par exemple, la Colombie a déjà exprimé son intention de protéger 30 % de son territoire en tant que zones naturelles, un projet ambitieux qui pourrait servir de modèle à d’autres nations. Ainsi, la COP16 ne se limite pas à des discussions, mais permet également de donner une visibilité aux initiatives locales et de promouvoir des actions concrètes pour la protection de la nature.

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Du 21 octobre au 1er novembre, la ville colombienne de Cali accueille la COP16, le sommet des Nations Unies sur la biodiversité, qui marque la seizième réunion des États signataires de la Convention internationale sur la diversité biologique. Quels enjeux et priorités vont guider les discussions de Greenpeace lors de cet événement crucial ?

De la parole à Montréal aux actes à Cali

Le thème central de la réunion à Cali est la « Paix avec la nature ». Ce rendez-vous international coïncide avec la première évaluation de l’impact du cadre mondial adopté à la COP15 à Montréal, qui vise à enrayer la perte de biodiversité d’ici 2030 à travers le plan KM-GBF, ou Kunming-Montréal Global Biodiversity Framework. Cet accord, perçu comme un « nouveau départ », fixe les lignes directrices d’un futur où l’harmonie avec la nature serait la norme d’ici 2050. Or, après deux ans, il s’avère nécessaire de faire le point sur les réalisations et les retards dans la mise en œuvre de ces engagements.

La Colombie montre-t-elle l’exemple en tant que pays hôte?

La Colombie, qui possède l’une des biodiversités les plus riches au monde, est incontournable dans le débat sur la préservation des écosystèmes. Abritant une partie de la forêt amazonienne ainsi que les forêts de nuages des Andes, sa ville de Cali se situe dans écosystème unique du Chocó, reconnu pour sa concentration exceptionnelle d’espèces endémiques. En outre, le pays héberge de nombreux peuples autochtones qui maintiennent des liens étroits avec leur environnement et ont une connaissance traditionnelle précieuse pour la conservation. En 2021, la Colombie a annoncé son objectif de protéger 30 % de son territoire d’ici 2022, un objectif d’une ambition rare, qui démontre son engagement en faveur de la biodiversité.

Pourquoi la COP16 est-elle si importante ?

Le but principal de cette réunion est d’évaluer les avancées collectives dans l’application de l’accord de Montréal et de renforcer les actions en faveur de la biodiversité. La réalité actuelle est préoccupante, avec une majorité des pays encore éloignés des objectifs fixés à Montréal. La Belgique, par exemple, est loin d’être un modèle d’exemplarité dans ce domaine. Greenpeace participera activement à la COP16, avec une délégation internationale qui mettra l’accent sur plusieurs enjeux cruciaux pour l’avenir de la planète.

Le financement de la biodiversité.

Les politiques concernant le climat et la biodiversité doivent être interconnectées.

Accent sur les zones marines et côtières.

Greenpeace exige des actions significatives dans l’identification des zones marines d’importance écologique tout en veillant à prendre en compte les droits des peuples autochtones et des communautés locales vivant sur les côtes.

Le respect des droits humains doit avoir une place centrale.

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Le sommet sur la biodiversité COP16 : enjeux et perspectives

Un tournant pour la biodiversité mondiale

La COP16, qui se déroule à Cali, en Colombie, représente un moment crucial pour la gestion de la biodiversité à l’échelle internationale. Avec l’adoption d’un cadre mondial visant à enrailler la perte de biodiversité d’ici 2030, les attentes sont élevées pour les discussions qui y auront lieu. Le thème principal, « Paix avec la nature », invite les nations à agir concrètement pour amoindrir leur impact environnemental et à mettre en œuvre les engagements pris à Montréal.

Les discussions porteront sur des sujets essentiels tels que la protection des écosystèmes, le financement de la biodiversité et le respect des droits humains dans la gestion des ressources naturelles. Ce sommet représente ainsi une opportunité unique pour redynamiser les efforts globaux et calibrer les actions des pays par rapport à leurs promesses.

  • Examiner les progrès réalisés depuis la COP15 à Montréal en 2022.
  • Promouvoir des politiques d’interconnexion entre biodiversité et changement climatique.
  • Identifier de manière proactive les sites marins d’importance écologique pour leur protection.
  • Intégrer les connaissances des peuples autochtones dans la conservation des écosystèmes.

Ces thèmes, essentiels à la survie de notre planète, mettent en lumière l’importance d’une collaboration renforcée entre les États, la société civile et les organisations internationales afin d’atteindre les objectifs fixés.

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Du 21 octobre au 1er novembre, la ville colombienne de Cali accueille la COP16, le sommet des Nations Unies sur la biodiversité, marqué par la participation de nombreux pays signataires de la Convention internationale sur la diversité biologique. Quels enjeux majeurs figurent à l’ordre du jour et quelles priorités sont mises en avant par Greenpeace ?

De la parole à Montréal aux actes à Cali

Le thème de cette importante réunion est la « Paix avec la nature ». Il représente une première opportunité de mise en œuvre depuis l’adoption, lors de la COP15 à Montréal, d’un cadre mondial pour stopper la perte de biodiversité d’ici 2030. Ce plan, désigné par l’acronyme KM-GBF, est perçu comme un nouveau départ dans la politique internationale en matière de protection de la biodiversité, visant une coexistence harmonieuse avec la nature d’ici 2050.

Deux ans après son adoption, il est crucial de dresser un bilan de la mise en œuvre de ces engagements ambitieux. Ce processus évaluera non seulement les progrès globaux, mais aussi les initiatives spécifiques de chaque pays.

La Colombie montre-t-elle l’exemple en tant que pays hôte?

La Colombie est reconnue pour sa biodiversité exceptionnelle, accueillant une partie essentielle de la forêt amazonienne et des forêts nuageuses des Andes. La ville de Cali, au cœur de l’écosystème du Chocó, abrite une multitude d’espèces uniques. De plus, le pays est riche en peuples autochtones, qui maintiennent des liens étroits avec leur environnement naturel.

Récemment, la Colombie a pris des initiatives pionnières pour la conservation de la biodiversité, notamment en annonçant en 2021 son objectif de classer 30 % de son territoire en zones naturelles protégées.

Pourquoi la COP16 est-elle si importante ?  

Cette réunion, qui se tient en Colombie, a pour objectif principal d’évaluer les progrès collectifs réalisés suite à l’accord de Montréal. Elle représente une occasion unique d’accélérer les actions concrètes pour restaurer la biodiversité. Or, à ce jour, la situation reste préoccupante : de nombreux pays, y compris la Belgique, peinent à atteindre leurs objectifs fixés il y a deux ans.

Greenpeace sera présente au sommet avec une délégation internationale qui mettra l’accent sur plusieurs thèmes essentiels.

Le financement de la biodiversité.

Renforcer la synergie entre les politiques climatiques et celles relatives à la biodiversité.

Les zones marines et côtières doivent être au centre des préoccupations.

Greenpeace exige des avancées significatives dans l’identification des zones marines d’importance écologique. Les droits des peuples autochtones et des communautés côtières doivent également être respectés.

Les droits humains doivent être intégrés au cœur des discussions.

Vous voulez en savoir plus sur le sommet sur la biodiversité ?

Pour en savoir plus sur ce sommet crucial, suivez ce lien : Greenpeace.

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Un événement crucial pour la biodiversité mondiale

Du 21 octobre au 1er novembre, la ville colombienne de Cali se transforme en épicentre mondial de la biodiversité pour la COP16, où les pays signataires de la Convention sur la diversité biologique se réunissent autour du thème « Paix avec la nature ». Cet événement marque un tournant après l’adoption d’un cadre mondial visant à mettre fin à la perte de biodiversité, soulignant la nécessité d’accélérer les actions concrètes.

La Colombie, hôte de ce sommet, se distingue par sa biodiversité exceptionnelle, représentant une partie significative des écosystèmes du Chocó et de la forêt amazonienne. L’engagement du pays à protéger 30 % de son territoire reflète l’importance de la conservation des ressources naturelles. Cela établit un modèle pour d’autres nations tout en mettant en lumière les défis continuels auxquels la biodiversité est confrontée.

À travers la COP16, les acteurs internationaux peuvent évaluer les progrès réalisés depuis deux ans et réaffirmer leurs engagements pour l’avenir. La nécessité d’une collaboration entre les politiques climatiques et les initiatives de protection de la biodiversité est plus essentielle que jamais. Ce sommet offre une plateforme unique pour promouvoir des actions significatives qui peuvent non seulement transformer les politiques actuelles, mais aussi redéfinir notre relation avec la nature.

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